`
Intitulé de la thèse : Les écritures de la danse moderne au début du XXe siècle : récits de danseurs et danse en littérature.
Disciplines : Lettres modernes, littérature comparée
Directeur de thèse : Guy Ducrey
Université : université de Strasbourg
École doctorale : École doctorale des Humanités (ED520)
Équipe de recherche ou laboratoire : Configurations Littéraires - L’Europe des Lettres
Année d’inscription en thèse : 2017
Résumé de thèse : Ma recherche porte sur l’écriture de la danse moderne à l’époque où elle émerge (première moitié du XXe siècle), en se définissant par opposition à la danse classique. Cette étude porte ainsi sur les trois principaux foyers de la modernité en danse : l’Allemagne, les États-Unis, et la Russie, et sur leur réception en France, ces différents mouvements (Danse expressive, Modern Dance, Ballets Russes, etc.) se produisant sur les scènes parisiennes. À partir d’une comparaison entre les textes littéraires sur la danse, par des auteurs spectateurs ou librettistes (Mallarmé, Valéry, Cocteau, Colette…) et les écrits de danseurs (Loïe Fuller, Isadora Duncan, Martha Graham, Mary Wigman, Vaslav Nijinsky…), il s’agira de déterminer comment la danse moderne s’écrit, qui est le mieux à même de l’écrire entre le danseur et l’auteur, et s’il y a des propriétés communes à l’écriture de la danse moderne ou bien une multitude de discours, chaque auteur ou chorégraphe ayant son propre langage.
Notice biographique : Master recherche de Lettres Modernes - Littérature comparée à l’ENS de Lyon en 2016. Agrégé de Lettres Modernes en 2017. Doctorant contractuel en littérature comparée à l’Université de Strasbourg depuis octobre 2017.
Contact : serol.lucas@gmail.com
[fiche publiée en octobre 2018]
TOUTES LES UNES |